Comment Darius Levski dirige-t-il les Éclairs de Néosine – et envisagerait-il un départ ?
Un club en crise sous l'ère Levski
Dans un monde où le virtuel et le réel se confondent, les Éclairs de Néosine, autrefois géants du football quantique, peinent à briller sur le terrain holographique. Darius Levski, le président controversé, est sous le feu des critiques des supporters, qui remettent en question sa gestion algorithmique du club.
Une direction sous algorithmes
Levski, connu pour sa rigueur analytique et sa stratégie axée sur l'optimisation des flux de crédits numériques, dirige Néosine d'une main de fer. Ses décisions, souvent calculées par des intelligences supervisées, visent à maximiser le rendement économique plutôt que les performances sportives. Les recrutements sont sélectionnés par des IA spécialisées, et les tactiques de jeu sont générées en temps réel par des réseaux neuronaux. Mais les résultats sont décevants : cette saison, les Éclairs stagnent en milieu de classement de la Ligue Omniverselle.
Les supporters en colère
Les ultras du club, équipés d'implants émotionnels, manifestent leur mécontentement par des hologrammes protestataires flottant au-dessus du Stade Synthétique. "Levski est un administrateur, pas un passionné", scande une foule virtuelle lors des derniers matches. Certains exigent même son départ, arguant qu'un humain "à l'ancienne" serait plus à même de redonner une âme à l'équipe.
Un avenir incertain
Malgré les rumeurs de rachat par des consortiums d'IA asiatiques, Levski reste muet sur son avenir. Certains analystes prédisent qu'il pourrait quitter Néosine pour prendre la tête d'une franchise interstellaire, où son approche froide et calculée serait mieux acceptée. D'autres estiment qu'il ne partira jamais, trop attaché à son projet à long terme – un club entièrement géré par des intelligences artificielles, sans interférence humaine.